Tatouages de Lady Gaga, tatouage sur la hanche
La chanteuse Lady Gaga, de son vrai nom Stefani Joanne Angelina Germanotta, devenue mondialement célèbre grâce à des titres comme « Just Dance », « Poker Face », « Beautiful Dirty Rich » et « LoveGame », apprécie tout particulièrement une autre forme d’art que la musique : le tatouage, qu’elle considère comme une grande preuve d’amour : elle a été notamment très impressionnée par le geste de l’un de ses fans s’étant fait tatoué son portait. Elle s’est d’ailleurs fait faire un tatouage de cœur (dad) pour son père, sur l’épaule, après qu’il se soit fait opéré à cœur ouvert.
Le dernier tatouage de Lady Gaga : « little monsters » (petits monstres, le nom qu’elle donne à ses fans) est venu s’ajouter à sa collection de tatouage et orne désormais son poignet, celui qui tient le micro. Elle a révélé ce nouveau tatouage littel monsters sur le bras via un post sur Twitter… Elle porte également encrés sur sa peau le tatouage d’un symbole « peace and love » sur l’intérieur du poignet, une fleur de style hawaïen sur l’épaule à côté d’un hommage au Japon (« tokyo love »), une clef musicale tatouée sur le bas des hanches, recouverte plus tard par un tatouage de roses entrelacées dans des feuilles de vignes , un motif plutôt classique, mais très bien réalisé. Le tatouage sur la hanche de Lady gaga est une belle et grosse pièce remontant quasiment jusqu’au torse, réalisée la célèbre et talentueuse tatoueuse américaine Kat Von D.
Le tattoo qu’elle arbore à l’intérieur du bras a été piqué sur sa peau au Japon. On lit sous forme de typographie légèrement calligraphiée une citation en allemand du poète Rainer Maria Rilke : « Prüfen Sie, ob er in der tiefsten Stelle Ihres Herzens seine Wurzeln ausstreckt, gestehen Sie sich ein, ob Sie sterben müßten, wenn es Ihnen versagt würde zu schreiben. Dieses vor allem: Fragen Sie sich in der stillsten Stunde Ihrer Nacht: Muss ich schreiben? » Soit en français : « Dans les heures les plus profondes de la nuit, avoue-toi à toi-même que tu serais prêt à mourir si l’on t’interdisait d’écrire. Et contemple la réponse au plus profond de ton cœur, là où elle déploie ses racines, et demande-toi, dois-je écrire ? »